Embalo a prévenu, au micro de France 24 et RFI, les militaires guinéens que le pays se risquait à "de lourdes sanctions" s'ils persistaient à vouloir se maintenir au pouvoir trois ans. "Trois ans au pouvoir avant un retour de civils élus, "c'est inacceptable pour la Cédéao. Inacceptable et non négociable", a-il-déclaré.
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