“Les routes de l'impossible” : « Guinée Conakry : la vie sur un fil » vendredi 2 septembre sur France 5 (vidéo)
Vendredi 2 septembre à 21:00, France 5 vous proposera de découvrir un inédit de la collection documentaire “Les routes de l'impossible” : « Guinée Conakry : la vie sur un fil ».
Les forêts de la Guinée Conakry n'ont pas encore livré tous leurs mystères.
Les mythes et les croyances que leur prêtent les habitants aident à supporter un quotidien souvent difficile. Agrippés à des échelles en bois plus que centenaire, des hommes défient des falaises hautes de 800 m pour rejoindre leurs familles ou se rendre dans leurs champs.
Au volant de leur camion, Mamady et ses fils affrontent des averses diluviennes qui rendent la piste cauchemardesque. Les pluies abondantes et les 1300 cours d’eau et fleuves qui le parcourent ont donné pour surnom au pays : Le château d’eau. Un paradoxe, l’eau courante est rare, même pour les centres de santé. Seule moyen, installer des citernes géantes, mais les transporter en taxis-brousse sur les pistes défoncées n’est pas une mince affaire ! La récolte d'huile de palme procure un minimum de revenus aux habitants, mais le travail est pénible et seules les motos peuvent transporter le précieux liquide. Chargées de dizaines de bidons, elles s'élancent sur des pistes chaotiques sur lesquelles tout peut arriver.
À la suite de cet inédit, France 5 rediffusera le numéro « Bolivie : les Yuncas au-dela des nuages ».
Dans la cordillère des Andes bolivienne, au péril de leur vie, deux mères courages parcourent des routes qui comptent parmi les plus dangereuses du pays.
Après avoir fait le plein de vivre à La Paz, la ville la haute du monde, Maria, l’épicière, rentre au village dans les hautes montagnes des Yungas. Elle est l’une des rares femmes en Bolivie à conduire sur ces pistes qui se perdent dans les nuages. Elle a un sacré courage pour se risquer le long des ravins vertigineux.
Lourdes, quant à elle, affronte le plus célèbre des "Camino de la Muerte", afin de venir en aide aux femmes chercheuses d’or.
La route qui mène aux mines est un chemin de croix, camions en panne et éboulements coupent régulièrement la route. La pluie tombe sans discontinuer, les parois des montagnes fragilisées s’effondrent en emportant maisons et routes sur leurs passages.
Il faut dire que la Bolivie connait des phénomènes climatiques extrêmes. La faute revient en partie aux coupeurs de bois, qui grignotent, petit à petit, la forêt Amazonienne.
Le 31 août 2022
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